Maya Cousineau Mollen écrit de la poésie depuis l’âge de quatorze ans. Elle publie plus tard ses textes dans des revues comme Moebius et Exit ainsi que dans les collectifs Languages of Our Land / Langues de notre terre et Amun. Profondément engagée dans la communauté, elle s’implique particulièrement dans la cause des femmes autochtones, notamment en fondant l’Association étudiante autochtone de l’Université Laval. Son premier recueil de poésie, Bréviaire du matricule 082 (2019), lui vaut d’être finaliste au prix Voix autochtones 2020. La féminité autochtone et l’identité innue raisonnent sur le territoire grâce à sa poésie.